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Articles

Pensée d'un sage

"La joie véritable n’a pour facteur rien de visible ou de tangible, c’est une jouissance sans cause, que vous donne la seule sensation d’exister comme âme et esprit. En conséquence, au lieu d’attendre de posséder quelque chose ou quelqu’un pour vous contenter, faites le contraire : réjouissez-vous de la simple existence des êtres et des choses, car c’est dans cette joie qu’ils vous donnent que vous avez la sensation qu’ils vous appartiennent. Ainsi donc, seul ce qui vous donne de la joie vous appartient vraiment, alors que ce qui vous appartient ne vous donne pas nécessairement du plaisir. Tout ce qui vous réjouit, vous le possédez, et encore mieux que si vous en étiez le propriétaire. La joie que vous pouvez ressentir devant la beauté de la nature, le lever du soleil, le ciel étoilé est incommensurable et pourtant ils ne vous appartiennent pas matériellement. Le plus important n’est donc pas la possession, mais plutôt la faculté de se réjouir." Omraam Mikhaël Aïvanhov Visite...

Parlons musique et ………..

Existe-t-il dans notre monde quelqu’un qui soit insensible à la musique? Je crois que non. Je n’ai pas eu cette chance de jouer un instrument de musique. Mais à écouter ma fille jouer au piano quelques airs de Strauss, de Mozart, de Beethoven, je me sens le mieux du monde tant que je suis aux anges. Par moments je regrette de n’avoir pas été musicien car j’ai tellement la musique dans le sang que je crois avoir l’étoffe d’un bon compositeur. Comme la nature ne l’avait pas voulu, je me contenterais de savourer les airs d’autrui qui me conduisent là où j’aurais aimé être selon mon Cœur. Je suis un passionné de musique, c’est pourquoi les évènements musicaux qui ont jalonné mon existence font tache d’huile en moi et ressurgissent au moment opportun. La musique est toujours présente dans tous les évènements qui ont marqué l’histoire d’un peuple. Elle aide à se rappeler des choses passées et permet de les localiser dans le passé. Qui n’a pas en mémoire une histoire vécue à une époque où une...

Bonne fête Papa!

C'est Sonora Smart Dodd, une Américaine de Spokane dans l'état de Washington, qui eut l'idée de rendre hommage aux pères. L'idée lui vint après avoir écouté un sermon à l'église le jour de la fête des Mères en 1909. Comme sa mère était morte lorsqu'elle était jeune, c'est son père Henry Jackson Smart qui prit soin d'elle et de ses 4 autres frères et soeurs en faisant preuve d'un très grand courage. Le mois de juin fut choisi pour célébrer la fête des Pères puisque c'était le mois de l'anniversaire de son propre père. La première célébration de la fête des Pères eut donc lieu à Spokane le 19 juin 1910, et depuis ce jour, elle a toujours lieu le troisième dimanche du mois de juin. Le président Calvin Coolidge fit de cette fête un évènement national en 1924. Puis le Président Lyndon Johnson proclamât que le troisième dimanche de chaque mois de juin deviendrait officiellement le "Father's Day". A tous les papas du monde je souhaite ...

La mort, mon amie, mon ennemie ?

Lassé par toutes les incertitudes d'une vie pleine de solitude je me suis aventuré dans un chemin hostile sans me soucier du non-retour, laissant derrière moi ces soucis si futiles, laissant derrière moi des interrogations inutiles; abandonnant mes angoisses et mes amours mes pas m'ont guidé à la croisée des chemins où seul mon choix déciderait de mon destin; c'est là que j'ai vu madame la mort qui me tendait la main en prononçant mon nom, elle m'implorait alors si fort que j'ai eu beaucoup de mal à lui dire non; sa voix était si douce mais son regard si vide, ses gestes si harmonieux mais sur son visage trop de rides que je lui ai fait un signe de la main, et tout en m'excusant de ne point la suivre, j'ai voulu rebrousser chemin, peut-être par crainte de ne plus vivre. mais la dame en noir se mit à me parler, à me conter les misères de ma vie, les côtés obscurs de l'humanité, et de cette terre qui se meurt petit à petit; "viens donc avec moi...

Attention Etudiant Danger !!!!!

Quand on a eu cette chance d’entrer dans une faculté de l’Université d’Etat d’Haïti, on ne pouvait que remercier le Très–Haut pour cette faveur exceptionnelle. En effet, depuis le coup de colère des étudiants des années 60 qui ont d’une part reçu des bastonnades et d’autre part pris le maquis, l’Université d’Etat d’Haïti est devenue un établissement entièrement politisé à la solde de la dictature duvaliériste. L’accès aux quelques facultés de l’Université n’était possible que grâce à son appartenance à la classe politique dictatoriale (macoute) ou encore au contact par personne interposée d’une autorité supérieure. Il a fallu attendre la fin de la dictature et la naissance de la constitution de 1987 pour que l’Université d’Etat d’Haïti, sous l’insistance de quelques constituants de l’époque s’orientât quelque peu vers une direction tant soit peu conformiste. L’Université d’Etat d’Haïti est le plus grand établissement Supérieur et de Recherche du pays. Elle compte 12 unités d’enseigneme...

Pensée d'un sage

"Nombreuses sont dans la vie les occasions où vous pouvez vous sentir méprisé, malmené, rejeté. Bien sûr, c’est douloureux, mais pourquoi vous arrêter là et vous morfondre pendant des heures entières ? Cessez de vous chagriner et commencez un peu à réfléchir. Dites : « Certains m’ont malmené, mais beaucoup d’autres m’aiment, j’ai une famille, j’ai des amis… » Et en admettant même que vous n’en ayez pas, dites-vous que le Seigneur vous aime, que les anges vous aiment. Ainsi, en pensant à vos amis, au monde divin, au Seigneur qui a créé tant de choses belles et bonnes dont vous bénéficiez à chaque moment de l’existence, vous oublierez le mal qu’on vous a fait, jusqu’au jour où vous ne le sentirez même plus. Chaque parole, chaque attitude blessante des autres à votre égard doit être une occasion de vous exercer. Vous ne pouvez pas les empêcher de dire ou de faire des choses qui vous chagrinent, mais vous avez les moyens de vous en protéger." Omraam Mikhaël Aïvanhov Visitez nos c...

LA PEINTURE, CET ART FUGITIF.

Vous est-il déjà arrivé d’observer un tableau sans jamais arriver à trouver l’expression lyrique qui s’y dégage. Est-ce que les artistes sont ces observateurs de la société, ces hommes qui souhaitent aussi faire bouger, évoluer le monde, à travers l’expression de leur art ? Est-ce que ces artistes dans leur inspiration égoïste pensent pour eux-mêmes tout en laissant aux observateurs le soin de deviner ce que bon leur semble ? Est-ce que la plupart de ces artistes savent exactement ce qu’ils peignent puisque leurs oeuvres auront une explication d’un public sélectif friand de bonnes oeuvres ? Fort de ces interrogations, je prends la liberté de définir l’artiste comme tout simplement, une autre façon de s’exprimer, de partager, de donner sans qu’il ne s’en rende compte. Comment est venue à l’homme l’idée de peindre? Je comprends très bien qu’à travers certains écrits l’homme peint les moeurs d’une société qui est responsable de tous les maux dont souffrent la plupart de nos frères. La pei...