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Affichage des articles du mars 5, 2009

« LES VRAIS HOMMES NE BATTENT PAS LES FEMMES, ILS LES RESPECTENT », AFFIRME BAN KI-MOON À L’OCCASION DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME

La violence contre les femmes constitue une attaque contre nous tous, contre les fondements de notre civilisation, a déclaré ce matin le Secrétaire général, M. Ban Ki-moon, qui participait à une table ronde de haut niveau sur le thème « Les femmes et les hommes unis pour mettre fin à la violence contre les femmes et les filles », organisée dans le cadre de la Journée internationale de la femme, célébrée le 8 mars de chaque année. L’intervention du Secrétaire général a été suivie d’une discussion sur la manière de mettre fin à l’impunité, à laquelle ont pris part la Vice-Présidente de la Gambie, la Représentante spéciale pour les enfants et les conflits armés, un avocat des droits de l’homme, une spécialiste mexicaine et un syndicaliste. Le Secrétaire général, qui a lui-même lancé l’année dernière la Campagne, « Unissons-nous pour mettre fin aux violences contre les femmes », a souligné que « les vrais hommes ne battent pas les femmes, ils les respectent ». Ils respectent, a-t-il dit, c

La magie d’une étreinte

Ce besoin irrésistible de toucher et d’être touché est établi tôt dans notre vie, au moment même de notre développement dans l'embrassement omniprésent de l'utérus de notre mère. Une fois nés, séparés de ce sanctuaire de connectivité, nous commençons à solliciter l'embrassement physique de nos parents et de notre entourage. Parents, quand vos jeunes enfants vous réclament constamment de les serrer plus fort et encore et encore…, ne vous irritez pas. Ils sont fragiles et ont besoin d’être constamment rassuré pour une raison ou une autre que souvent nous ne comprenons pas. Comme nous vieillissons, nous devenons de plus en plus indépendants et arrivons à mieux contrôler nos désirs. Que ce soit pendant nos périodes de triomphe, de succès, de joie, de tristesse ou d'ennui et tous ces moments où nous avons besoin d'être rassurés, nous ne pouvons pas nous empêcher de languir pour une étreinte. Etant donné que ce geste exige deux participants actifs, chaque individu partici