Tout le bien qu'aujourd’hui chère sœur, je dirais de toi serait inférieur à ce que je pense et à ce que tu as accompli durant ton court séjour parmi nous. Je salue en toi un ensemble exceptionnel de très grandes qualités, ne sachant s'il faut louer davantage en toi la fille respectueuse , la femme dévouée, la mère aimante, la sœur bienveillante ou l’amie fidèle.
Esther, que de souvenirs m’assaillent en pensant à toi! Nos conversations téléphoniques, ton soutien compatissant à l’enterrement de mon père il y a trois ans et tes demandes incessantes de voir mon fils, ton neveu, autant de souvenirs qui me hantent et auxquels je m’accroche désespérément. Tes photos et tous les beaux souvenirs que je garde de toi m’aident à surmonter cette douleur insupportable qui m’étreigne à me couper le souffle.
Que de bonté et de générosité perdues ! Tu nous as quittés, nous te regrettons, mais tu seras toujours des nôtres, puisque tu as occupé une place importante dans notre vie. Le souvenir de ta douceur, de ta bonté et de ta joie de vivre restera éternellement gravé dans nos cœurs.
Dans les circonstances dramatiques que nous traversons, je ne peux m'empêcher de penser à tous nos disparus, nos victimes, nos survivants. Nous souffrons tous de ces circonstances qui nous dépassent et qui ont voulu que toi, tes deux plus jeunes enfants et des centaines de milliers de nos frères et sœurs haïtiens empruntent une nouvelle route. Départ précipité, immense choc pour nous tous ; mais de toi chère sœur, nous garderons toujours, dans nos cœurs, les doux moments passés ensemble.
Esther, que de souvenirs m’assaillent en pensant à toi! Nos conversations téléphoniques, ton soutien compatissant à l’enterrement de mon père il y a trois ans et tes demandes incessantes de voir mon fils, ton neveu, autant de souvenirs qui me hantent et auxquels je m’accroche désespérément. Tes photos et tous les beaux souvenirs que je garde de toi m’aident à surmonter cette douleur insupportable qui m’étreigne à me couper le souffle.
Que de bonté et de générosité perdues ! Tu nous as quittés, nous te regrettons, mais tu seras toujours des nôtres, puisque tu as occupé une place importante dans notre vie. Le souvenir de ta douceur, de ta bonté et de ta joie de vivre restera éternellement gravé dans nos cœurs.
Dans les circonstances dramatiques que nous traversons, je ne peux m'empêcher de penser à tous nos disparus, nos victimes, nos survivants. Nous souffrons tous de ces circonstances qui nous dépassent et qui ont voulu que toi, tes deux plus jeunes enfants et des centaines de milliers de nos frères et sœurs haïtiens empruntent une nouvelle route. Départ précipité, immense choc pour nous tous ; mais de toi chère sœur, nous garderons toujours, dans nos cœurs, les doux moments passés ensemble.
Je vous présente ainsi qu'à vos proches mes profondes sympathies à l'occasion du grand vide que laissera votre belle-soeur.
RépondreSupprimerVotre message de condoléances me va droit au cœur cher ami. Vous ne pouvez imaginer à quel point le mot « vide « convient pour parler du départ précipité de ma belle-sœur. Esther fait certainement partie de ces gens qu’on n’oublie jamais.
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